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"L'Europe et la globalisation", par Matthieu
Périchaud CHAPITRE 2 : Continuité et rupture de la pensée sur l'Europe Partie C : Fin des idéologies ou convergence idéologique ? |
Introduction - 1. Politique, médias et société - 3. Europe et globalisme - 4. La communication sur l'Europe - Conclusion et bibliographie |
Notes du
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<Partie précédente Face aux discours souvent simplistes et même faux que l’on nous inflige sur " l’échec du socialisme ", " le triomphe du libéralisme ", ou " la fin des idéologies ", il nous paraît indispensable de souligner à quel point socialisme et libéralisme sont, en un certain sens aujourd’hui, les deux faces d’un même projet global : ces idéologies diffèrent surtout quant aux moyens à mettre en œuvre pour atteindre un but qui, lui, est commun, après l’expulsion du nationalisme de ce projet. 1/ La convergence idéologique Socialisme et libéralisme se rejoignent sur la finalité de l’Etat : pour tous deux, le pouvoir politique n’est pas effectivement une fin en soi. L’Etat est simplement un moyen d’assurer artificiellement et temporairement le fonctionnement de la société, et devra disparaître ou s’atrophier dès que les conditions d’une harmonie sociale constante seront réunies. Soulignons évidemment que ce raisonnement reste théorique, et qu’il doit donc composer avec la réalité. Indubitablement, on peut affirmer que le libéralisme et le socialisme sont plus complémentaires qu’antagonistes : ils convergent en effet autour de l’idée force de paix universelle, paix résultant du progrès scientifique et technique, et d’une certaine domestication des rapports humains (de l’échelle internationale jusqu’aux relations les plus personnelles). La raison maîtrisant la passion, l’homme rationnel se substituant à l’homme passionnel. Le matérialisme comme dénominateur commun Socialisme et libéralisme partagent également une vision matérialiste du monde et de l’homme, reléguant morale et spiritualité au second plan. Tant pour les socialistes que pour les libéraux, l’homme est avant tout conditionné par le fait qu’il est un producteur et un consommateur, d’où pour ces deux idéologies, la prédominance de l’économie dans l’organisation de la société. Toutefois, l’un, le libéralisme, se félicite de ce constat, surtout parce qu’il considère que c’est le meilleur moyen d’obtenir la paix et de réguler les rapports sociaux. On retrouve cet argument aussi bien chez Smith ou Bentham que chez Montesquieu, ce dernier affirmant dans l’Esprit des lois (14) que le commerce peut maintenir la paix en instaurant une dépendance réciproque entre les pays. L’autre, le socialisme, reconnaît également ce primat économique, et c’est même la base de toute son argumentation. Le socialisme (du moins, le socialisme marxiste) est en effet centré sur la production économique, et non pas sur la condition prolétarienne, conçue simplement comme dépendante du type même de production. Mais contrairement aux libéraux, les socialistes considèrent que l’économie et le commerce ne créent pas l’harmonie sociale et ne rendent pas l’homme plus libre. Pour le libéralisme, l’activité marchande (et la compétition entre les individus qu’elle entraîne) est l’état naturel de la société : elle permet l’enrichissement, la propriété, facteurs de liberté et de bonheur pour l’homme. A l’inverse, le socialisme considère que la production, parce qu’elle détermine tous les autres éléments de la vie en société, est un facteur d’aliénation, non seulement de la classe ouvrière "exploitée", mais aussi des propriétaires des moyens de production. Dans ce contexte, la liberté n’existe pas, et elle doit être conquise par la révolution. Le perfectionnement comme ultime but Cependant, pour l’un comme pour l’autre, le but final n’en demeure pas moins la paix universelle et le perfectionnement (individuellement ou collectivement) du genre humain. Libéralisme et socialisme sont définitivement tournés vers l’avenir, car le perfectionnement exige un temps illimité, alors que le nationalisme veut plutôt conserver ou améliorer la nation, à l’aide d’une nostalgie et d’une vénération du passé quelque peu utopiques. Pour le libéralisme et le socialisme toujours "en marche", l’Histoire est donc conçue comme une dynamique de progrès, dynamique scientifique et bénéfique Comme cet aperçu des idéologies le montre, différences et similitudes s’organisent autour de la place de l’individu dans la société, dans le fonctionnement et l’organisation de cette société. L’Europe, berceau des idéologies De fait, libéralisme, socialisme et nationalisme sont inséparables tant de la pensée que de l’histoire de l’Europe. Ces idéologies ont vu le jour progressivement et ont accompagné (et souvent précédé) la prise de conscience, par les populations européennes, d’un passé à la fois commun et distinct. Commun, parce que l’on peut définitivement parler de civilisation européenne (occidentale), construite essentiellement à partir de la tradition judéo-chrétienne et gréco-latine, et qui se traduit par une " intimité " culturelle et artistique, technique et scientifique, entre les peuples du vieux continent. Distinct, parce qu’à l’époque des Lumières, et encore au XIX e siècle, l’organisation sociale et politique des sociétés européennes est fort contrastée : qu’y a-t-il en effet de comparable entre une France fortement centralisée et légitimée aux yeux de ses habitants, et une Allemagne en gestation depuis de nombreuses décennies, et qui ne verra le jour (en tant qu’Etat) qu’à l’aube du XX e siècle ? Cette interrogation nous amène inéluctablement au sentiment d’appartenance à une communauté humaine. Ce sentiment est au cœur des idéologies. Il renvoie à deux concepts fondamentaux : la nation et l’Etat. Nation, Etat et Etat-nation On peut définir la nation comme une réunion d’individus ayant une origine et une langue commune, autrement dit une culture et une histoire partagées. Ce concept prend toute sa forme au XIX e siècle, même si le penseur allemand Johann G. Fichte (ainsi que Herder), dès 1795, en est le précurseur avec son Discours à la Nation allemande. L’utilisation et l’acception du terme nation se diversifient les décennies suivantes, pour culminer à la fin du XIX e siècle, avec deux grandes conceptions opposées. Nation, mythe et réalité La première, celle définie à l’origine par Fichte, interprète la nation comme une collectivité humaine reposant sur l’affirmation d’une identité originelle commune à ceux qui la composent. Cette conception " allemande " de la nation trouve sa raison d’être dans la naissance : c’est par cette dernière que l’on fait partie d’une nation. On parle généralement, à propos de cette interprétation, de conception ethnique de la nation. Une fois encore, le contexte germanique de l’époque explique en grande partie cette conception de la nation, mythifiée et idéalisée par le romantisme allemand. Entre le discours de Fichte et l’unification allemande, qui a lieu en 1871, il s’écoulera près d’un siècle. On peut dès lors se demander si cette unification de l’Allemagne n’est pas directement la conséquence de la diffusion et de la propagation de l’idée d’une nation allemande, tout autant originelle que conceptuelle. Le cas de l’Allemagne illustre parfaitement le schéma présenté en première partie de ce chapitre : les idées prennent vie en fonction du contexte socio-politique qui les conditionne, elles se diffusent dans la société, modifient la réalité et, par rétroaction, évoluent à leur tour (en fonction de leurs répercussions sur la société). Raoul Girardet nous confirme dans cette démarche lorsqu’il insiste sur l’importance du contexte politique dans l’apparition du concept de nation : "Il n’en reste pas moins que, bien loin de tout déterminisme ethnico-linguistique, bien loin aussi (du moins dans un premier temps) de l’affirmation d’une réelle volonté collective, c’est le jeu politique, souvent appuyé par la force des armées et jalonné par des traités (...) qui a dessiné sur la carte l’Europe des nations. (...) Ce n’est pas en vain si, comme l’affirme Max Weber, " le concept de nation " ne peut être dissocié de " la notion de puissance politique ". Place de l’Etat national dans le système international, définition du statut territorial, ambitions expansionnistes ou menaces extérieures, cohésion sociale ou tensions internes, acceptation ou refus de l’ordre établi : autant de facteurs que l’histoire même des idées et des mentalités ne saurait exclure de son champ d’investigation." (15) Ernest Renan Il en va de même pour l’autre conception de la nation, dont le théoricien principal reste, sans conteste, Ernest Renan. Pour ce dernier, la nation résulte d’une volonté de chacun de participer et d’adhérer à une communauté de culture, de langue et d’histoire. C’est ce que l’on a appelé la conception civique de la nation : on fait partie d’un peuple parce qu’on le désire, non parce que l’on y est né. Selon Ernest Renan:"Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu’on a faits et de ceux qu’on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé ; elle se résume pourtant dans le présent par un fait tangible : le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie commune. L’existence d’une nation est (pardonnez-moi cette métaphore) un plébiscite de tous les jours, comme l’existence de l’individu est une affirmation perpétuelle de vie." (16) Ces deux conceptions restent encore aujourd’hui inconciliables (les récurrentes polémiques sur le " droit du sol " et le " droit du sang " en témoignent). Toutefois, comme le souligne Raoul Girardet, ces thèses se rejoignent pourtant, dans la mesure où la conception civique d’Ernest Renan sous-entend quand même qu’il est nécessaire de partager un certain nombre de valeurs, valeurs que seul le temps et l’héritage culturel peuvent garantir. Inversement, si Johann G. Fichte affirme que le facteur déterminant d’appartenance à une nation est la naissance, il n’est pas cependant réfractaire à une possible " éducabilité " des individus souhaitant s’intégrer à une société. Conception ethnique et conception civique n’en ont pas moins été utilisées d’une manière les rendant inconciliables. Ceci révèle la marge d’erreur non négligeable existant entre une théorie et son application. Or, comme l’avons démontré précédemment, quiconque applique une théorie en sciences humaines ne peut jamais prétendre à l’objectivité, car en ce domaine, l’application n’est en fait qu’interprétation. L’Etat et la souveraineté Le deuxième concept-clé auquel se trouvent confrontées les idéologies est bien évidemment l’Etat. Ce dernier peut se définir comme une communauté organisée d’une manière permanente sur un territoire donné, indépendamment de l’origine de ses ressortissants, et dotée d’un gouvernement et de lois communes. Un Etat peut donc comprendre plusieurs nations (ce fut le cas de l’Autriche-Hongrie), de même qu’à l’inverse, une nation peut être répartie en plusieurs Etats (ainsi de la nation polonaise, partagée et occupée pendant 123 ans par la Russie, la Prusse et l’Autriche). Cependant, ces deux cas de figure, essentiellement le second, sont contre nature et explosifs (Talleyrand parlait ainsi de " péché mortel "). C’est précisément à l’époque des Lumières que l’Etat s’impose comme une réalité distincte de la société civile, et dont l’une des particularités, mise en évidence par Max Weber, est de posséder le monopole de la force légitime (puissance coercitive). Pour cette raison, un des attributs les plus reconnus à l’Etat est la souveraineté, véritable pouvoir de commander et de contraindre. Un Etat souverain n’est en effet soumis au contrôle d’aucune autorité extérieure, à moins bien évidemment qu’il ne le décide par lui-même. Par exemple, on parle ainsi en France de souveraineté nationale parce que le peuple français est son propre " maître " (en théorie). Mais il n’est souverain que par un artifice juridique, que l’on retrouve dans la plupart des pays, à savoir que le peuple est personnifié dans la Nation. L’usage du terme nation peut donc légitimer toute forme d’Etat (unitaire, fédéral, etc.) et tout type d’Etat (monarchie, démocratie...) (17). 2/ L’Etat-nation, ou la convergence entre histoire et théorie La nation et l’Etat sont bien deux concepts indispensables pour comprendre les différents projets qui ont inspiré l’Europe des idées et l’Europe des faits. Et c’est à ce titre que le XIX e siècle représente, peut-être plus qu’aucun autre, le point de rencontre et de convergence entre l’histoire et la théorie politique. L’avènement des Etats-nations en Europe, concentré essentiellement après 1850, correspond judicieusement à l’heure de gloire du nationalisme, libérateur des peuples des empires despotiques (" Printemps des peuples "). C’est en toute logique que cet apogée de l’exaltation nationale amènera libéralisme — au sens de liberté et de démocratie — et socialisme — au sens, encore à l’époque, de justice sociale — à se rapprocher plus encore. D’autre part, la domination progressive de l’idéologie nationaliste en Europe, à partir de la seconde moitié du XIX e siècle, célèbre une logique collective (identité et force collective) qui ne peut que croître au détriment de l’individualisme, et ce au sein même du libéralisme. C’est pourquoi les libéraux (au sens politique et économique) développeront des thèses plus interventionnistes, où l’Etat joue un rôle de régulateur qui n’est plus uniquement social, mais aussi économique. Ce courant du libéralisme occidental s’affirmera au lendemain de la Première Guerre mondiale, notamment avec Joseph M.-Keynes (18). Un obstacle majeur à la paix universelle… et surtout à l’expansion des idéologies Mais dès la fin du XIX e siècle, l’avènement d’une Europe des Etats-nations, simultanément au triomphe des thèses nationalistes diverses, rapproche libéraux et socialistes dans une idée qu’ils partagent: l’Etat et le sentiment d’appartenance à une nation peuvent empêcher, en cas de rivalité ou de conflit, l’instauration de la paix universelle et perpétuelle. Ils divisent en effet les hommes en maintenant des frontières réelles ou en créant des frontières artificielles, qu’elles soient géographiques, linguistiques, commerciales ou économiques... Pour les tenants du libéralisme transnational et du socialisme internationaliste, ces frontières font le lit du nationalisme, et dérangent leur propre idéologie dans leur expansion. Comme le rappelle Raoul Girardet: "De l’exaltation du passé national, le passage est sans doute inévitable à l’affirmation de la valeur universelle de la civilisation nationale. Il n’est guère de nationalisme en effet qui ne porte en lui la conviction que les richesses morales, intellectuelles, religieuses ou sociales qui lui sont propres ne soient destinées à se répandre bien au-delà des frontières de l’Etat-nation (...) le sentiment fortement exprimé de supériorité à l’égard des autres groupes entraîne la volonté d’exprimer cette supériorité ; il conduit tout naturellement à la recherche de l’expansion (...)." (19) Ainsi, l’exaltation du sentiment patriotique ne peut conduire, selon eux, qu’à l’affrontement (guerre militaire, économique, etc.) et dessert par là même "les intérêts supérieurs de l’humanité", c’est-à-dire surtout ceux des idéologies qui, bien évidemment, veulent se répandre… Un processus de déstructuration/restructuration Toutefois, à la défense du nationalisme, on ne peut nier que son développement corresponde toujours au processus de déstructuration d’une société ancienne et de sa restructuration en une société nouvelle. Précisément, l’avènement des Etats-nations en Europe (par le bouleversement des anciennes frontières, l’effondrement des empires multi-ethniques, etc.), cumulé à la révolution industrielle, au développement du capitalisme international, à la colonisation..., n’a pas manqué de déstabiliser l’ordre ancien, et les traditions qui en découlaient. Et de toute évidence, on peut affirmer que ce moment critique de l’histoire européenne résulte surtout d’une emprise croissante de l’idéologie libérale sur la réalité (20). Quant aux promoteurs du socialisme, y voyant un pas supplémentaire vers la révolution, ils n’ont pu que se satisfaire d’une telle déstructuration (selon la dialectique marxiste, le progrès de l’histoire passe inéluctablement par la destruction des ordres "archaïques", tels la monarchie ou l’empire). Rappelons-nous que Marx emprunte à Hegel l’idée que la guerre est le moteur de l’histoire. La responsabilité des idéologies face à l’histoire En conséquence, il paraît logique de penser qu’aucune de ces trois idéologies ne peut prétendre à l’indulgence dans la violence et la haine qui ont déferlé sur l’Europe, dans la première moitié du XX e siècle. Si le nationalisme est toujours montré du doigt, force est de constater qu’il s’est constitué en idéologie, à la fois contre et à partir des idées et répercussions du libéralisme et du socialisme. Ainsi, le nationalisme peut resurgir chaque fois que l’évolution d’une société produit une trop grande tension entre son passé et son présent (21). Qu’on le déplore ou non, l’aspiration des peuples à faire coïncider appartenance à une nation et territoire géographique ne semble pas en voie de disparition. Cette aspiration trouve sa plénitude dans l’Etat-nation. Et jusqu'à maintenant, l’Europe est le continent qui s’y est le plus illustré et le plus essayé, pour le meilleur comme pour le pire. Quand l’histoire légitime l’idéologie Pourtant, depuis la Seconde Guerre mondiale, les Européens cherchent à rompre définitivement avec ce passé. La raison invoquée par une partie des élites du vieux continent est la suivante : la logique de l’Etat-nation conduit, soit à la guerre, soit à une paix basée sur la force et la méfiance des uns envers les autres (équilibre des puissances), c’est-à-dire une paix éphémère. Or, comme nous l’avons vu, les arguments du libéralisme et du socialisme ne disent pas autre chose, puisque pour tous deux, l’Etat-nation est l’obstacle essentiel à l’accomplissement ultime de l’histoire, telle qu’ils la conçoivent, eux, en termes de paix universelle et perpétuelle, de bonheur et de progrès de l’homme. Dès lors, comment ne pas voir que la construction européenne est née d’une convergence entre tourments de l’histoire et postulats idéologiques ? C’est donc toujours sous cet angle qu’il nous paraît judicieux d’étudier le discours sur l’Europe que nous connaissons actuellement. Cet argument nous permet d’affirmer qu’après la "mise hors-jeu" du nationalisme — qu’elles ont pourtant nourri en Europe et ailleurs —, les théories libérale et sociale se sont légitimées aux yeux des dirigeants européens. L’histoire européenne, surtout entre 1870 et 1945, n’est-elle pas la preuve que l’Etat-nation (ou l’Etat-parti comme l’URSS) a mis en danger la paix, le bonheur, la richesse et la prospérité de l’humanité ? Confirmés par la réalité, dont ils sont en grande partie responsables, libéralisme et socialisme marquent indiscutablement de leur empreinte le passage d’une Europe des nations à une Europe fédérale. Partie suivante> Matthieu Périchaud Copyright 20 décembre 2001-Matthieu Périchaud/www.diploweb.com L'adresse URL de cette page est http://www.diploweb.com/globalisation/23.htm Notes du chapitre 2:
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