09/2023

Synthèse de l’actualité internationale de septembre 2023

Par Axelle DEGANS, le 1er octobre 2023  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Membre du Conseil scientifique du Diploweb.com. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.

Les faits internationaux les plus marquants de septembre 2023 : une France poussée vers la porte en Afrique ? Un autre monde s’affirme ; La Corée du Nord sur la scène internationale ; Des nouvelles des fronts ; Des inquiétudes sur l’environnement ; etc.

Voici la précieuse synthèse d’Axelle Degans qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique mondiale, voire préparent un concours ou passent un entretien de recrutement. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte X anciennement twitter de veille géopolitique @diploweb. Ce compte de veille géopolitique dépasse le seuil de 20900 followers dont de nombreuses pointures du domaine dans de nombreux pays. Vous serez en bonne compagnie. Et c’est plus important que jamais d’être bien entouré.

Coup d’État au Gabon

Au Gabon, le président Ali Bongo est renversé en septembre 2023 par un putsch réalisé par le chef de la garde républicaine. Ce coup d’État survient peu après l’annonce des résultats des élections présidentielles, qui se sont tenues dans une certaine opacité, donnant la victoire du président sortant avec près des 2/3 des voix. Ali Bongo lance un pathétique appel au secours auprès de ses soutiens. Ce président diminué, a minima physiquement, a lancé cet appel en anglais… Fils d’Omar Bongo, président dès 1967, Ali Bongo briguait un troisième mandat, alors que son épouse voulait installer au pouvoir son fils. A l’évidence les liens entre le Gabon et la France se sont distendus. Ce pays de l’Afrique francophone a adhéré au Commonwealth et la Chine y est devenue un investisseur majeur. La junte l’a placé en résidence surveillée. Ce putsch est condamné au niveau international. Brice Nguema devient le « président de transition » du pays.

Synthèse de l'actualité internationale de septembre 2023
Dr. Axelle Degans
Degans/Diploweb

Une France « non grata » en Afrique ?

L’Afrique de l’Ouest est d’ailleurs le siège de nombreux coups d’État : Guinée et Mali en 2021 , Burkina Faso en 2022, Niger en 2023, une « épidémie » selon le président français, E. Macron. Paris est inquiet. Une alliance des États du Sahel est signée entre Mali, Burkina Faso et Niger, trois pays tenus par des putschistes, pour une assistance mutuelle.

L’influence française recule en Afrique, comme le montre le rappel de l’ambassadeur français en poste au Niger et la fin de l’accord de coopération militaire qui liait Paris et Niamey. Celui-ci fait suite au départ des troupes françaises du Mali et du Burkina Faso. L’opération militaire Barkhane, pour endiguer le djihadisme, est donc désormais lettre morte.

L’attitude du roi du Maroc lors du tremblement de terre qui touche son pays et la décision d’Alger de revenir sur l’enseignement en langue française témoignent d’une perte d’influence certaine, que Gilles Kepel analyse comme le résultat d’erreurs en série de la diplomatie française. Nous vivons la cristallisation de dynamiques engagées à bas bruit durant plusieurs décennies.

Un autre monde s’affirme

La dernière réunion des BRIC’s qui s’est tenue à Johannesburg à la fin du mois d’août 2023 est historique en annonçant l’entrée dans ce club - de ce que Zaki Laidi nomme une « aristocratie émergente » - de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de l’Éthiopie, de l’Égypte et de l’Argentine. Les BRIC’s représenteront en 2024, 35% population mondiale et plus de 30% du PIB mondial, alors que le G7 seulement 27 % du PIB mondial et 20% de la population mondiale.

Carte. Les BRICS : une plateforme de coopération entre pays émergents qui s’élargit en 2024. Par AB PICTORIS sur Diploweb

L’Inde a été l’hôte de la réunion du G20 au début du mois de septembre 2023. Cette réunion est historique car elle intègre pour la première fois l’Union africaine (UA). Elle est aussi remarquable car elle signe une réussite diplomatique pour le premier ministre indien Narendra Modi qui est parvenu à un consensus sur le communiqué final. Celui-ci ne fait pas mention de la guerre coloniale que mène la Russie en Ukraine. Une proportion significative des pays émergents ne souhaite pas prendre parti dans ce conflit, d’abord perçu comme un conflit entre Européens. Si le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, a témoigné de sa satisfaction, il n’en est pas de même de son homologue ukrainien. Nombreux sont aussi les pays qui estiment que le G20 devrait se garder de prendre position sur les questions internationales les plus épineuses comme le souhaitent les puissances occidentales. Celles-ci regrettent que le communiqué final n’annonce pas non plus une volonté claire et affichée de sortir de l’économie carbonée. Les clivages sont donc puissants au sein de G20 entre les puissances occidentales et de nombreux pays émergents.

Le président brésilien Lula entend mettre fin à l’hégémonie financière du dollar. A la tribune de l’ONU, il condamne en septembre 2023 les sanctions occidentales pesant sur la Russie. Lula veut faire du Brésil une puissance du XXIème siècle.

La Corée du Nord sur la scène internationale

La Corée du Nord a de nouveau procédé au tir de deux missiles balistiques de courte portée après les manœuvres militaires conjointes entre Etats-Unis et Corée du Sud, dans les eaux internationales. Les tensions sont assez vives, et les exercices militaires répondent aux tirs de missiles, et réciproquement.

Kim Jong-un, le leader nord-coréen, s’est affiché en septembre 2023 aux côtés de son voisin russe. Les deux chefs d’État se sont rencontrés dans l’Extrême-Orient russe. Les Américains craignent que ce soit pour livrer des armes à Vladimir Poutine.

Des nouvelles des fronts

Le Haut-Karabakh subit un terrible embargo organisés par Bakou. Les civils arméniens y vivant sont dans une situation sanitaire et alimentaire très préoccupante. L’Azerbaïdjan lance une nouvelle offensive en septembre 2023 contre le faible territoire du Haut-Karabakh, offensive victorieuse pour Bakou. Les Arméniens réalisent que la « protection » russe ne vaut pas grand-chose. La communauté internationale reste très silencieuse face à ce nouveau drame que vivent les Arméniens, décidément bien seuls. Lâchés par le traditionnel « allié » russe, occupé sur le front ukrainien et attaché à ses revenus liés aux hydrocarbures vendus grâce aux Azéris, n’ayant pas obtenu l’empathie des Occidentaux (Madame U. von der Leyen qualifie le président azerbaïdjanais Ilham Aliev de « partenaire fiable »), et victimes des ambitions des Turcs, les Arméniens du Haut-Karabakh déposent les armes, sur fond d’épuration ethnique qui ne suscite pas vraiment plus de réactions au niveau international. Dont acte.

Le président américain Joe Biden annonce vouloir apporter un milliard de dollars pour que l’offensive ukrainienne lancée à la fin du printemps 2023 puisse réaliser une percée décisive. Kiev veut encore marquer des points avant l’hiver. Guillaume Ancel écrit « La bataille du triangle constitué par les trois localités de Robotyne-Novoprokopivka-Verbove bat son plein, elle est cruciale pour la suite de l’offensive ukrainienne dont nous savons désormais qu’elle durera plusieurs mois. » [1]

Des inquiétudes sur l’environnement

L’Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) publie en septembre 2023 un rapport qui évalue l’importance des espèces exotiques envahissantes. Ces espèces sont nombreuses – la jacynthe d’eau, le moustique tigre ou le frelon asiatique par exemple - et se développent avec une telle importance qu’elles pèsent sur la biodiversité. Elles provoquent l’extinction d’autres espèces. La France a défini une stratégie nationale dès 2017 pour y faire face.

L’Organisation des nations unies (ONU) s’inquiètent d’une exploitation irraisonnée du sable. On évalue 50 milliards de tonnes le sable extrait à l’échelle de la planète. Le sable est dragué au niveau des fleuves, mers et océans. Le phénomène est inquiétant au large des côtes des Etats-Unis, du golfe persique et des côtes chinoises. Le sable est devenu une ressource stratégique.

L’Union européenne face à ses contradictions

Sur l’ile italienne de Lampedusa, quelques 8 000 migrants sont arrivés en septembre 2023 sur les plages, alors que l’ile compte environ 6 000 habitants et ne dispose que de quelques centaines de places d’accueil. Les habitants de l’ile sont débordés, ils ont fait appel à l’aide de Rome. Giorgia Meloni met l’Union européenne face à ses responsabilités, car ces flux migratoires sont bien plus tournés vers l’Union qu’ils ne sont réellement à destination de l’Italie, pays de transit. Ce pays a déjà accueilli sur ses côtes près de 130 000 clandestins. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, appelle les États membres à accueillir les migrants clandestins arrivés à Lampedusa. Le pape François, à l’occasion d’un déplacement à Marseille en septembre 2023 plaide aussi la cause des migrants dans une Union européenne vieillissante, non sans cliver au sein même des catholiques européens.

Cette crise migratoire, prévisible, est très loin d’être terminée. L’Union a choisi, avec les accords de Schengen, d’abaisser les frontières internes pour constituer un vaste marché unique, et de renforcer les frontières extérieures. L’inefficacité de Frontex est avérée depuis 2015, les frontières extérieures de l’Union sont poreuses. Si les migrants politiques – les réfugiés – peuvent rester sur le sol communautaire ce n’est pas le cas des migrants économiques. Dans les faits, ceux-ci ne sont pas toujours reconduits aux frontières et deviennent souvent des clandestins. Ces flux illégaux relèvent aujourd’hui d’une véritable « industrie ». Des trafiquants d’êtres humains – ce que certains nomment passeurs – font traverser le Sahara aux candidats subsahariens. Arrivés sur les rivages méditerranéens ( tunisien, libyen…) ils sont pris en main par des trafiquants qui les entassent sur de frêles esquifs, pour des profits maximum, sans le moindre souci d’une arrivée sur la terre ferme, tablant – parfois avec des « accords » – que des ONG viennent à leur secours. Ces migrants sont les premières victimes d’une chaine mafieuse dont l’activité est devenue plus lucrative que le trafic de drogue.

L’Union européenne est donc prise à son piège, n’étant pas capable de faire appliquer ses textes. C’est un terrible échec pour les pays d’arrivée de ces flux, mais aussi un échec de l’Union. Comment dissuader les départs ? L’Union s’apprête à adopter un pacte migration et asile, texte qu’elle veut adopter avant les élections européennes de 2024. Il s’agit de ne plus laisser les pays en première ligne (Italie, Grèce…) aussi seuls qu’ils ne le sont aujourd’hui et d’améliorer la qualité de l’accueil des migrants. L’Allemagne, après avoir suspendu l’accueil volontaire de demandeurs d’asile arrivés en Italie, et comme d’autres pays européens, rétablit un contrôle à ses frontières. Un espace de Schengen une énième fois remis en question ?

Pour être solidaire de l’Ukraine confrontée à la guerre d’agression conduite par la Russie, l’Union vient de décider l’importation sans quota et sans taxe douanière de volailles ukrainiennes. Cette décision met sous très forte tension les éleveurs de l’Union car leur coûts de production sont bien plus élevés que ceux de l’Ukraine où les producteurs ne sont pas soumis aux mêmes normes phytosanitaires et nomes sociales que sur le sol communautaire. En France, les producteurs crient à la concurrence déloyale.

Les céréales importées d’Ukraine sont au cœur d’un conflit entre Bruxelles et les pays d’Europe centrale (Pologne, Slovaquie, Hongrie). Ces pays veulent protéger leur marché intérieur et leurs agriculteurs de la concurrence des céréales ukrainiennes à prix très bas. Le président Zelensky a dénoncé ces pays à la tribune de l’ONU, les accusant de « soutenir indirectement la Russie » et a déposé une plainte à l’OMC. Une attitude surprenante quand on connait l’engagement résolu de ces pays pour la cause ukrainienne et l’accueil qu’ils ont réservé aux millions de réfugiés ukrainiens. V. Poutine a dû se réjouir de voir les relations entre la Pologne et l’Ukraine se dégrader. Reste à savoir comment le dialogue entre Varsovie et Kiev reprendra une fois passées les élections en Pologne (15 octobre 2023).

Les tensions sont vives en Asie

En Asie, les tensions sont aussi maritimes, la politique expansionniste de Pékin en mer de Chine méridionale heurte ses voisins. Les Philippines ont retiré une barrière flottante installée par la Chine au large du récif de Scarborough, à moins de 250 km des côtes de l‘archipel mais à près de 1 000 km des côtes chinoises. Pékin a mis en garde Manille.

L’ONU estime que la Birmanie, actuellement aux mains d’une junte militaire, multiplie les exactions et les assassinats – plusieurs milliers de victimes – des opposants politiques.

Les entreprises occidentales voient avec inquiétude leur avenir sur le marché chinois. La croissance chinoise s’est tassée et présente donc moins d’opportunités. En outre, les entreprises occidentales sont en proie au dilemme posé par les chaines de valeur globales qui les lient à l’empire du Milieu. L’interdépendance est une forme de dépendance. En Allemagne, pays très exposé au « risque chinois », la Bundesbank annonce en septembre 2023 que 29% des entreprises du pays dépendent des biens critiques importés de Chine pour produire.

Des catastrophes naturelles meurtrières

Le Maroc est frappé en septembre 2023 par un terrible séisme, d’une magnitude de 6,9, ce qui en fait l’un des plus violent qu’ait connu le pays, pire que celui d’Agadir en 1960. Il aurait fait plus de trois mille victimes, des milliers de blessés et des milliers de sans-abri. Le roi du Maroc, Mohammed VI, annonce à cette occasion n’accepter l’aide que de quatre pays - Émirats arabes Unis, Qatar, Royaume-Uni et Espagne – refusant toute autre aide, y compris celle de la France. Ce geste est d’abord celui d’une affirmation de la souveraineté du pays qui veut montrer qu’il est capable de faire face aux conséquences de cette catastrophe naturelle. C’est également un geste géopolitique. L’aide matérielle acceptée provient de quatre monarchies. Elle provient aussi de quatre pays qui ont reconnu la marocanité du Sahara occidental, ce que n’a pas fait la France plus proche des vues d’Alger sur ce dossier. Cette décision est aussi un élément du contentieux qui oppose Paris et Rabat sur les visas désormais réduits qu’accorde Paris aux Marocains. Cette décision participe aussi plus largement d’une prise de distance des pays africains francophones avec Paris dont la politique est aujourd’hui clairement contestée. Les milliers de sinistrés marocains sont aujourd’hui inquiets pour leur avenir.

A Derna, en Libye une dizaine de milliers de personnes sont mortes et presque autant ont disparu selon l’ONU. La tempête Daniel a frappé cette ville en septembre 2023 qui a été inondée après que les barrages ont cédé du fait de leur vétusté : des fissures non colmatées expliqueraient cette catastrophe. Le chaos politique a entravé l’action des secouristes qui ont désormais quitté la zone. L’avenir est particulièrement sombre pour les survivants de cette catastrophe qui a touché une ville de près de cent mille habitants.
Après avoir été en proie à de terribles incendies, la Grèce connait en septembre 2023 des inondations dans la région de Thessalie.

Une entente cordiale

La France reçoit le nouveau monarque britannique pour une visite d’État, la plus importante au niveau protocolaire. Cette visite, initialement prévue fin mars 2023 pendant la contestation de la réforme des retraites, a pu se dérouler en septembre 2023 sous les auspices de l’amitié franco-britannique, après le Brexit (2020). La France a reçu le roi Charles III et la reine Camilla lors d’un repas au château de Versailles, qui a été l’occasion de mettre en valeur le savoir-faire français comme l’ont été les visites dans les ateliers du luxe français. Charles III a aussi pu s’exprimer devant les parlementaires, un honneur rare qui montre l’importance accordée à cette visite. Le roi s’est présenté comme un grand ami de la France.

La France et le Royaume-Uni sont les deux seuls pays d’Europe de l’Ouest à posséder à la fois une armée opérationnelle - adossée à une industrie d’armement - l’arme nucléaire et un siège de membre permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Les diplomaties britannique et française sont aussi les réseaux les plus importants après les diplomaties des Etats-Unis et de la Chine. Cependant, ces deux pays ont aussi en commun... d’être chacun engagé dans une dynamique d’effacement relatif à l’échelle du monde. Et le départ des Britanniques de l’Union européenne a alourdi la contribution de la France au budget de l’Union européenne, privé l’UE d’une de ses plus grandes économies, de sa principale place boursière, et d’une puissance géopolitique. France et Royaume-Uni ont plus de points communs que l’on pourrait penser au premier abord. Reste à combiner points communs et différences, convergences et divergences, coopération et concurrence entre ces deux pays… dans un monde qui leur échappe chaque jour davantage. Les mouvements de menton et le faste ne suffiront pas.


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Bonnes nouvelles

En septembre 2023, la start-up française Verkor a réussi à lever deux milliards d’euros afin de mener à bien son projet de gigafactory à Dunkerque où seront fabriquées des batteries électriques haute performance. C’est une opération de réindustrialisation dans une région très marquée par la désindustrialisation. C’est aussi le pari de gagner en souveraineté dans la transition énergétique en construisant sur le sol français et européen les batteries indispensables aux voitures électriques.

A la Martinique, la montagne Pelée et les pitons du nord sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une bonne nouvelle pour la Martinique qui pourra encore mieux protéger la biodiversité tout en espérant un développement économique.

Un traité sur la haute mer a été signé en septembre 2023 aux Nations unies par 67 pays, dont les Etats-Unis. Ce texte protège la biodiversité marine, il devrait entrer en vigueur en 2025.

La France remporte la coupe du monde de rugby militaire contre les Fidji s’imposant 25-22. Ça, c’est fait. Reste la Coupe du monde de rugby à XV…

Copyright Octobre 2023-Degans/Diploweb.com

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[1Guillaume Ancel, Ukraine, la bataille du « triangle », porte de la digue russe, blog Ne pas subir, 30 septembre 2023 https://nepassubir.fr/2023/09/30/ukraine-la-bataille-du-triangle-porte-de-la-digue-russe/

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