Les faits internationaux les plus marquants de juillet-août 2023 : Élections ; L’UE étonne ; Du Sahel au Sahélistan ? BRIC’s et nouvelle organisation du monde ; Exploiter et protéger les mers et océans ; La sécurité alimentaire en question, etc.
Voici la précieuse synthèse d’Axelle Degans qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique mondiale, voire préparent un concours ou passent un entretien de recrutement. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte X anciennement twitter de veille géopolitique @diploweb. Ce compte de veille géopolitique dépasse le seuil de 20700 followers dont de nombreuses pointures du domaine dans de nombreux pays. Vous serez en bonne compagnie.
Au Guatemala, le second tour des élections présidentielles a opposé Sandra Torres, veuve de l’ex-président Alvaro Colom, qui a fait campagne sur une politique de fermeté, à Bernado Arevalo, fils d’un ancien président. Ce dernier est élu durant l’été 2023 à la magistrature suprême.
Les élections présidentielles de l’Équateur se déroulent dans un climat d’une rare violence. Le candidat centriste Fernando Villavicencio a été abattu par un commando. La socialiste Luisa Gonzales sera opposée au second tour au conservateur Daniel Noboa, fils de milliardaire.
En juin 2023, la Commission européenne choisit de nommer Fiona Scott Morton à la direction générale de la concurrence communautaire en tant qu’économiste en chef. Cette économiste américaine, qualifiée de brillante, est connue pour avoir travaillé pour Microsoft, Apple et Amazon, ainsi que pour le gouvernement Obama au département américain de la Justice, département antitrust.
En France de nombreuses voix s’élèvent contre cette nomination d’une Américaine à un poste clé dans les rouages communautaires, celui de la concurrence érigée en dogme cardinal à Bruxelles. Margrete Vestager, ancienne Commissaire à la concurrence, aurait joué un rôle décisif dans ce choix. De nombreux députés européens s’indignent de cette nomination. Il serait intéressant d’enquêter sur les processus à l’origine d’une telle nomination.
Cette nomination est problématique à plusieurs égards. Sans remettre en cause les compétences de Madame Scott Morton, le choix d’une ancienne employée de trois GAFAM interroge au moment où Bruxelles se fait fort de réguler et d’encadrer leur puissance sur le sol communautaire. Bruxelles présente la régulation du numérique comme un acte capital avec l’adoption du règlement sur les services numériques (DSA) et du règlement sur les marchés numériques (DMA). Ainsi, Suzanne Vergnolle, docteure en droit et maître de conférences au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) estime que « les personnes qui rejoignent actuellement la Commission européenne à Bruxelles vont avoir un impact stratégique sur la mise en œuvre » de ces nouvelles règles. Cette nomination pose donc un problème déontologique de possible conflit d’intérêts. A l’évidence, choisir une Américaine à un poste aussi important dans les instances européennes pose la problématique de la réalité de l’indépendance de l’Europe communautaire vis-à-vis des Etats-Unis. En Europe, et singulièrement en France, beaucoup ne comprennent pas qu’on ne puisse pas trouver des ressources internes au continent pour pourvoir à ce poste : aveu de soumission à Washington ? Dans le même temps, la Britannique Ellen Robson est choisie pour diriger le personnel du Parlement européen, or le Brexit est effectif. On peut considérer ces deux choix comme un signal fort d’appartenance de l’Union européenne au pôle euro-atlantique, mais en position subordonnée, d’autant qu’il n’y a pas de réciproque.
La France a demandé à réviser la nomination de la chef économiste, prévue pour être effective au 1er décembre 2023. La porte-parole de la Commission européenne, Dana Spinant, y répond ainsi : « La décision a été prise. Nous ne voyons pas de raison de la reconsidérer ». La date du 11 juillet 2023 est à retenir. Fiona Scott Morton a décidé de renoncer à ce poste.
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Il s’agit d’un « accord complet » dont le volet central est la gestion des flux migratoires que Bruxelles reporte en partie sur ses voisins. Il existe déjà un accord avec un volet de ce type entre l’UE et la Turquie qui en fait un moyen de pression sur Bruxelles, notamment pour maintenir la fiction de sa candidature à l’UE et les transferts de fonds qui vont avec. Les pays européens sont face à un continent africain dont la pauvreté et la forte croissance démographique, comme l’instabilité politique, poussent des candidats toujours plus nombreux à l’exil. Une vague migratoire se profile, sans commune mesure avec la force des flux actuels.
Bruxelles s’engage durant l’été 2023 à verser 105 millions d’euros pour que Tunis améliore le contrôle de ses frontières et arrête davantage les flux clandestins. Cette politique porte aussi sur la lutte contre les activités de contrebande. L’Italie est très sensible à cet accord car elle est en première ligne des flux clandestins, et peine à y faire face. Les Européens souhaitent décourager en partie les départs en amont en améliorant les conditions de vie de l’autre côté de la Méditerranée. Cette volonté se retranscrit dans une politique d’aide à l’agriculture, l’énergie et des mesures pour attirer les investisseurs en Tunisie. Un plan de prêts et d’aides directes pour environ un milliard d’euros est à l’étude.
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Le Diploweb.com vous propose des Masterclass géopolitiques pour faire la différence, au sujet de la puissance (P. Verluise), de l’URSS (J-R Raviot) et des données numériques (K. Limonier) :
. Pierre Verluise, Quels sont les fondamentaux de la puissance ?
. Jean-Robert Raviot, C’était quoi l’URSS ?
. Kevin Limonier, Pourquoi les données numériques sont-elles géopolitiques ?
Le Niger est à son tour victime d’un coup d’État militaire durant l’été 2023, après le Mali – qui en a connu deux – et le Burkina Faso. Les putschistes ont déposé le président Mohamed Bazoum. Le coup d’État se fait sur un fond d’insatisfaction de la population nigérienne qui est passée, selon la Banque mondiale, d’un peu plus de 12 millions en 2001 à plus de 25 millions en 2021, soit une augmentation de 120% en seulement vingt années, pour un pays qui compte à peine 3,5 millions d’habitants au moment de l’indépendance en 1960. Une croissance qui continuera car le Niger est l’un des pays les plus jeunes du monde, près de la moitié de la population a moins de 15 ans. Cette formidable croissance démographique explique en grande partie les difficultés actuelles d’une population qui vit dans le milieu particulièrement fragile du Sahel. L’impéritie des différents gouvernements ne permet pas au pays d’y faire face. La misère est un terreau connu du djihadisme.
Ce coup d’État s’est déroulé sur un discours anti-français, discours déjà entendu à Bamako puis à Ouagadougou. Les putschistes dénoncent les accords de sécurité et de défense signés entre Niamey et Paris. La mise en scène, très médiatisée, des manifestations anti-françaises, démontre l’organisation de ce coup d’État. L’influence russe est au cœur de la nouvelle situation politique au Sahel, et plus particulièrement au Niger. Moscou joue un « grand jeu » en Afrique, en miroir de ce qui se déroule sur le sol ukrainien. Après la Centrafrique, le Mali et le Burkina Faso, le groupe Wagner soutient les renversements politiques au profit de nouveaux pouvoirs militaires pro-russes et au détriment des positions françaises, et plus généralement occidentales.
Ce nouveau putsch met à mal le dispositif Barkhane mis en place par l’armée française pour construire une digue anti-djihadisme dans cette région et pose la question de la durabilité de la présence des militaires français au Niger. Dispositif reposant sur le G5 Sahel comprenant les forces de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad. Ce dernier, à l’heure de la gestion de l’après Idriss Déby est déjà en retrait. Les putschs au Mali puis au Burkina Faso, faisaient du Niger un pays pivot de la lutte contre le djihadisme.
La Communauté des pays d’Afrique de l’Ouest, la CEDAO, oppose aux putschistes un ultimatum leur intimant de rendre le pouvoir au président Bazoum. L’ombre d’une intervention militaire plane sur le Niger alors que les attentats des djihadistes continuent dans ce pays. L’Unité africaine (UA) n’incite pas à une intervention militaire.
Le président haïtien Jovenel Moïse a été assassiné en juillet 2021 et depuis la fonction n’est plus occupée. A la tête du pays – à défaut d’État – le Premier ministre Ariel Henry est à la peine. Sans réelle légitimité, son pouvoir d’action est très faible. A cette impasse politique répondent des impasses économiques et sociales. Le pays est aux mains des gangs qui font régner la terreur ; le pillage est l’un de leurs principaux mode d’action. Le réseau national de défense des droits de l’homme (RNDDH) estime que six massacres ont été perpétrés entre avril 2022 et avril 2023 tuant 734 personnes et une centaine de femmes et de petites filles ont été victimes de viols collectifs. Le Premier ministre a déjà réclamé une intervention militaire internationale pour juguler ce fléau, en vain. Les différentes initiatives restent sans suite. L’insécurité empêche toute avancée politique et une reprise de la vie économique. Début août 2023, la population de la capitale, Port-au Prince, manifeste bruyamment pour obtenir d’être protégée des gangs. Certains dénoncent l’inaction de la communauté internationale, et le traitement très différent reçu par les Ukrainiens. La malnutrition afflige des milliers d’enfants haïtiens, victimes aussi de la dissolution des liens familiaux.
Le Liban est plongé dans une spirale infernale. Victime de ses élites corrompues plus préoccupées de leur intérêt personnel que de celui du pays dont elles ont la charge, le drame du Liban s’incarne tout particulièrement dans l’explosion sur le port de Beyrouth qui a ravagé la vieille ville le 4 août 2020 tuant au moins 200 personnes et en blessant des milliers d’autres. L’impossible reconstruction malgré les fonds internationaux disponibles en dit long sur l’impasse dans laquelle est le Liban. Le pays du Cèdre a dû faire défaut sur sa dette. Il est miné par une inflation galopante. L’ancien gouverneur de la banque centrale, Riad Salamé, est accusé d’avoir détourné 330 millions de dollars d’argent public. Il est recherché par Interpol.
Le Soudan ne retrouve pas de stabilité. Les combats continuent durant l’été 2023 entre l’armée aux ordres du général Abdel-Fattah al-Burbane aux forces armées du général Hemedti. Ce conflit a déjà causé, d’après l’ONU, le déplacement de quatre millions de soudanais, et la mort de cinq mille d’entre-eux. Dans la région de la capitale, 71 des 89 hôpitaux sont hors d‘utilisation alors même que les cadavres jonchent les rues de Khartoum.
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Pierre Verluise : Comment préparer et réussir un oral de Géographie ou Géopolitique ?
1ère partie : la préparation
2e partie : la prestation
Ce club de l’aristocratie émergente – ou réémergente - composé du Brésil, de la Russie, de la Chine, de l’Inde et de l’Afrique du Sud attire de nouveaux candidats. Alors que l’Algérie a manifesté son désir d’y entrer, Moscou vient de faire savoir son soutien à la candidature de l’Iran. La XVème réunion qui se tient à Johannesburg durant l’été 2023 prépare un élargissement, celui d’un groupe dont le caractère anti-occidental est de plus en plus marqué. La Chine est motrice dans cette dynamique et l’Argentine, l’Arabie Saoudite, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Iran devraient y adhérer en 2024. La République sud-africaine a invité une soixantaine de pays à assister à cette réunion, occasion pour ce pays de rayonner sur la scène internationale.
L’Arabie saoudite accueille une réunion internationale concernant la guerre en Ukraine pour préparer une prochaine une conférence des chefs d’État. Riyad joue ici la carte d’un fédérateur d’un « Sud global », tout en postulant au club des BRIC’s.
L’Inde, mise à l’honneur lors du défilé du 14 juillet 2023 à Paris, achète 26 Rafale pour les porte-avions ainsi que trois sous-marins Scorpène. L’Inde veut se positionner en puissance navale de l’Indo-Pacifique. Elle se pose aussi de plus en plus en puissance technologique, que les transferts liés aux différents contrats ne peuvent que renforcer. Ce pays est désormais la première puissance démographique mondiale et entend être un des leaders du « Sud global ».
Inde et Russie ont procédé chacune durant l’été 2023 à un nouveau lancement de fusée. Il s’agit pour New Delhi d’une vol non habité, mais l’Inde aspire à devenir la quatrième puissance à faire alunir un engin. Pari réussi avec la mission Chandrayaan-3. La Russie a lancé Luna-25, le premier engin dont la mission est la Lune depuis les années 1970, quand l’URSS était l’une des deux puissances spatiales majeures. La sonde russe s’est cependant écrasée sur la Lune.
Le récent patron de Twitter, vient de transformer son entreprise pour la rendre plus rentable. Elle a changé de nom pour devenir « X ».
Sa start up Neuralink vient d’obtenir des autorités américaines une autorisation sanitaire pour des implants cérébraux connectés, destinés aux êtres humains. Les possibilités d’aider les personnes handicapées physiquement ou dans l’impossibilité de communiquer ne pourraient être qu’un paravent pour des perspectives qui ne sont pas sans rappeler le monde orwellien de « 1984 » avec les êtres alphas et les autres. Un pas vers un homme augmenté ? Qui le serait ? Quelles en seraient les finalités ? Est-ce aussi la porte vers un monde où toutes les pensées, les plus intimes, seraient livrées à la transparence et la connaissance de tout un chacun ?
La Jamaïque accueille durant l’été 2023 l‘assemblée générale de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM). Le contexte est celui de l’exploitation possible des richesses des fonds marins, notamment des modules polymétalliques. La transition énergétique est très fortement consommatrice de matières premières, la croissance démographique contribue aussi à soutenir la demande. La sécurisation des approvisionnements en matières premières est une question qui se posera avec une acuité croissante. La France s’est positionnée en faveur de la protection des écosystèmes marins et prend la tête d’un groupe en faveur d’une « pause de précaution ». L’exploitation et la protection des fonds marins est une question qui se pose surtout pour les eaux internationales qui ne relèvent pas d’une souveraineté d’un État. Greenpeace appelle à protéger l’environnement marin dans « un contexte d’urgence climatique et d’effondrement de la biodiversité ». A l’inverse, certains États comme la Chine, l’Inde et la Russie font pression pour une exploitation rapide des richesses sous-marines, ils sont soutenus par certaines entreprises comme la canadienne The Metals Company (TMC). Les États insulaires du Pacifiques sont tiraillés entre leurs évidents intérêts économiques et les considérations écologiques liées aux menaces de submersion.
Dans le golfe de Guinée, le Gabon vient de restructurer une partie de sa dette pour l’alléger en échange d’une politique de préservation de ses fonds marins. Il s’agit d’un échange « dette contre nature » passé avec Bank of America.
La réunion de la FAO durant l’été 2023 a démontré le niveau de l’anxiété concernant la sécurité alimentaire. La guerre russe en Ukraine touche un des grands greniers de la planète. La Russie joue aussi sur les exportation de céréales depuis la mer Noire. La pandémie a montré l’importance d’être en mesure d’assurer sa souveraineté alimentaire. Le réchauffement climatique met aussi sous tension les systèmes agricoles alors que la demande est croissante du fait de la croissance démographique. Les principaux producteurs de céréales peuvent-ils renoncer à une agriculture productiviste ?
L’écrivain d’origine Tchèque Milan Kundera est mort durant l’été 2023. Auteur de « L’insoutenable légèreté de l’être » ou de « La plaisanterie », il est aux côté de Vaclav Havel lors du « printemps de Prague de 1968. Il avait quitté son pays natal pour vivre en France. Collaborateur de la revue Le Débat, il dénonce un Occident kidnappé.
Jacques Duquesne vient de disparaitre durant l’été 2023. L’enfance de ce dunkerquois de naissance est très marquée par une histoire tragique et par le christianisme. Il écrit sur la guerre d’Algérie, Jésus, comme sur sa région natale.
Evgueni Prigojine et Dmitri Outkine, les fondateurs de Wagner la société de mercenaires, seraient morts en août 2023 dans le crash de l’avion les transportant vers Saint-Pétersbourg, annonce faite par les agences russes Tass, Ria Novosti et Interfax. Les Britanniques estiment que l’avion aurait été abattu par le FSB, successeur du KGB en Russie. Washington évoque l’explosion d’un bagage. Cette société militaire privée serait de fait décapitée. Utilisé par Moscou dans la guerre qui se déroule sur le sol syrien, puis en Libye, Wagner sert les intérêts de la Russie en Afrique, s’enracinant en Centrafrique avant de s’implanter au Sahel, à commencer par le Mali. Ces mercenaires sont aussi utilisés dans l’offensive menée en Ukraine par le Kremlin, en particulier lors de la bataille de Bakhmout. Critiquant l’état-major russe, Prigojine s’est créé beaucoup d’inimitiés, avant de tenter un coup d’État en juin 2023 qui se termine par son repli en Biélorussie. Cette probable disparition pourrait être comprise comme un acte d’autorité de Vladimir Poutine qui, après avoir affirmé qu’il déteste la trahison, annonce officiellement la mort de celui qui a été surnommé le « cuisinier de Poutine ».
Le nageur français Léon Marchand repart avec trois médailles d’or des championnats du monde de Fukuoka, à une année des Jeux olympiques. Antoine Herlem est aussi prometteur. Airbus participera à l’élaboration de la nouvelle stations spatiale, Starlab, qui remplacera l’ISS.
Le dernier vol d’Ariane 5 est un succès avec la mise en orbite d’un satellite français de communication militaire et d’un satellite allemand expérimental. Il s’agit du 177ème vol de la fusée qui devrait être remplacée par Ariane 6.
Je me joins à toute la rédaction du Diploweb.com pour vous souhaiter une très belle rentrée ! Axelle Degans
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Axelle Degans, Synthèse de l’actualité internationale de septembre 2023
Vidéo J. Malizard Économie de défense, quoi de neuf ?
Cette conférence peut être diffusée en amphi pour nourrir un cours et un débat. Voir directement sur youtube/diploweb
Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Membre du Conseil scientifique du Diploweb.com. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.
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Date de publication / Date of publication : 1er septembre 2023
Titre de l'article / Article title : Synthèse de l’actualité internationale de l’été 2023
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