Géopolitique des relations franco-iraniennes. Revue de presse vers des articles en français, anglais, allemand, espagnol et italien.
Après dix mois d’assignation à résidence en Iran, la jeune universitaire française Clotilde Reiss a été libérée, grâce notamment à la médiation de la Syrie, du Brésil et du Sénégal. Lectrice à l’université d’Ispahan, la jeune femme avait été arrêtée en juillet 2009 sous l’accusation d’atteinte à la sécurité nationale, après avoir participé à des manifestations contre la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad. Suite à son procès en Iran, ses deux peines de prison de cinq ans ont été commuées en une amende. Face aux critiques sur les conditions de libération de la Française, le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, nie tout lien entre cette libération et le sort d’Iraniens libérés en France, notamment celui d’Ali Vakili Rad, condamné en 1994 pour l’assassinat de Chapour Bakhtiar, ex-premier ministre iranien du Shah d’Iran. Par ailleurs, le gouvernement français a démenti catégoriquement que Clotilde Reiss ait travaillé pour les services de renseignement français, polémique lancée par un ancien cadre de la DGSE.
Afin de ne pas produire de liens cassés, les URL sont ôtés après 6 mois. Nous vous remercions de votre compréhension.
Consultez l’ensemble des revues de presse de l’ISIT Voir
Responsable du Centre de documentation de l’ISIT
Copyright DIPLOWEB sauf mention contraire
Auteur / Author :
Date de publication / Date of publication : 19 mai 2010
Titre de l'article / Article title : Libération de la Française Clothilde Reiss après dix mois de détention en Iran
Chapeau / Header :
Géopolitique des relations franco-iraniennes. Revue de presse vers des articles en français, anglais, allemand, espagnol et italien.
Après dix mois d’assignation à résidence en Iran, la jeune universitaire française Clotilde Reiss a été libérée, grâce notamment à la médiation de la Syrie, du Brésil et du Sénégal. Lectrice à l’université d’Ispahan, la jeune femme avait été arrêtée en juillet 2009 sous l’accusation d’atteinte à la sécurité nationale, après avoir participé à des manifestations contre la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad. Suite à son procès en Iran, ses deux peines de prison de cinq ans ont été commuées en une amende. Face aux critiques sur les conditions de libération de la Française, le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, nie tout lien entre cette libération et le sort d’Iraniens libérés en France, notamment celui d’Ali Vakili Rad, condamné en 1994 pour l’assassinat de Chapour Bakhtiar, ex-premier ministre iranien du Shah d’Iran. Par ailleurs, le gouvernement français a démenti catégoriquement que Clotilde Reiss ait travaillé pour les services de renseignement français, polémique lancée par un ancien cadre de la DGSE.
Adresse internet / URL : https://www.diploweb.com/spip.php?article613
© Diploweb.com. sauf mention contraire.