Géopolitique de l’Irlande. Revue de presse vers des articles en français, anglais, allemand, espagnol et italien.
Un an et demi après avoir rejeté le traité de Lisbonne, les Irlandais l’ont finalement plébiscité à l’issue du référendum du 2 octobre 2009 avec plus de 67% de oui. Les conséquences de la crise financière en Irlande auront largement eu raison des réticences irlandaises. Ce vote massif évite à Brian Cowen, le Premier ministre irlandais, une crise politique dangereuse pour sa coalition. Les dirigeants de l’Union européenne ont donc rapidement appelé à ne plus retarder la mise en œuvre du traité de Lisbonne. Mais avant son entrée en vigueur, espérée en janvier 2010, il est impératif d’obtenir la signature des présidents eurosceptiques polonais et tchèque, Lech Kaczynski et Vaclav Klaus, dont les pays n’ont pas encore ratifié le traité destiné à améliorer le fonctionnement de l’UE. Les responsables européens s’inquiètent également de voir l’opposition britannique, menée par David Cameron, revenir sur le vote des députés au profit d’un référendum en cas de victoire des conservateurs aux élections législatives au printemps 2010.
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Auteur / Author :
Date de publication / Date of publication : 8 octobre 2009
Titre de l'article / Article title : L’Irlande adopte le traité de Lisbonne
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Géopolitique de l’Irlande. Revue de presse vers des articles en français, anglais, allemand, espagnol et italien.
Un an et demi après avoir rejeté le traité de Lisbonne, les Irlandais l’ont finalement plébiscité à l’issue du référendum du 2 octobre 2009 avec plus de 67% de oui. Les conséquences de la crise financière en Irlande auront largement eu raison des réticences irlandaises. Ce vote massif évite à Brian Cowen, le Premier ministre irlandais, une crise politique dangereuse pour sa coalition. Les dirigeants de l’Union européenne ont donc rapidement appelé à ne plus retarder la mise en œuvre du traité de Lisbonne. Mais avant son entrée en vigueur, espérée en janvier 2010, il est impératif d’obtenir la signature des présidents eurosceptiques polonais et tchèque, Lech Kaczynski et Vaclav Klaus, dont les pays n’ont pas encore ratifié le traité destiné à améliorer le fonctionnement de l’UE. Les responsables européens s’inquiètent également de voir l’opposition britannique, menée par David Cameron, revenir sur le vote des députés au profit d’un référendum en cas de victoire des conservateurs aux élections législatives au printemps 2010.
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