Géopolitique de la Chine. Etienne Brintet démontre que la Chine risque une déstabilisation de grande ampleur, à l’image de sa pyramide des âges, étranglée à la base, et déséquilibrée par une tête hypertrophiée. Elle est en ce moment à la croisée des chemins, sa population active commençant à décliner dans les années qui viennent.
LA CHINE réalise année après année les objectifs qu’elle se fixe pour devenir la première puissance mondiale dans tous les domaines : politique, économique, militaire, spatial, culturel. L’Empire asiatique remporte non seulement des succès mais les dépasse, qui plus est souvent plus rapidement qu’attendu [1]. Rien ne semble pouvoir la freiner.
Mais ce nouveau grand bond en avant de développement de puissance possède ses revers. S’il est souvent mis en avant les déséquilibres environnementaux et les drames humains collatéraux, la démographie est moins citée. Les autorités et beaucoup d’observateurs extérieurs en parlent, mais généralement de façon assez vague, en n’allant que rarement au fond du sujet, tant sur le plan des conséquences du déséquilibre, que des remèdes des causes structurelles.
La Chine risque une déstabilisation de grande ampleur, à l’image de sa pyramide des âges, étranglée à la base, et déséquilibrée par une tête hypertrophiée. Elle est en ce moment à la croisée des chemins, sa population active commençant à décliner dans les années qui viennent.
Après un bref rappel pour comprendre comment la Chine est arrivée à la situation actuelle, nous verrons quelles conséquences peut avoir l’évolution démographique et voir quelles pourraient ses perspectives d’évolutions.
Fait unique dans l’histoire du développement des pays, l’évolution démographique de la Chine s’est faite avant le développement économique. Classiquement, la baisse tendancielle du taux de fécondité se fait en décalage après le décollage économique et les évolutions de société induites. Si la Chine a fait l’inverse, cela n’a pu se faire que par une forte volonté politique, voire par la contrainte.
Les années 1970 ont été marquées par une forte natalité, comme si le peuple voulait « rattraper le retard » du « grand bond en avant » [2]. La crainte erronée d’une surpopulation a amené le pouvoir central à décréter la politique de l’enfant unique dès 1979.
Pour la population, s’il faut rentrer dans l’obligation de l’enfant unique, cela se fait au détriment des filles. La société chinoise considère traditionnellement le garçon comme garant de la famille, qui doit s’occuper de ses parents âgés, doit mieux pouvoir rapporter qu’une fille à la famille, tout en assurant la perpétuation du nom. La préférence au garçon atteint aujourd’hui, à cause de la politique de l’enfant unique, des sommets : il y a 120 naissances de garçons pour 100 filles, au lieu de 105 naturellement [3]. Ce rapport est encore plus important pour les naissances de rang supérieur. La mortalité des filles, en particulier due à des infanticides, aggrave le phénomène.
Par ailleurs, la transition démographique unique de la Chine a été pour elle un atout en termes de développement économique, en ne mettant pas sur le marché du travail des masses considérables de jeunes adultes. Mais cet atout n’est que provisoire, et les contre-coups risquent d’être d’autant plus sévères.
Un déséquilibre démographique entre hommes et femmes. Il y a aujourd’hui 34 millions de plus d’hommes que de femmes en Chine [4]. Le simple déficit de femmes entraîne à son tour un déficit des naissances et probablement un ralentissement à terme de l’économie. Les industries de main-d’œuvre peu qualifiée et l’agriculture comptent une grande proportion de femmes. Elles auront à faire face à une diminution de leur main d’œuvre. Ce déséquilibre entraîne aussi mécaniquement un besoin de naissances plus important pour le simple remplacement des générations, loin d’être assuré aujourd’hui.
Des millions d’hommes sont donc contraints au célibat. Cela engendre des tensions sociales fortes, le plus souvent au détriment des femmes, et des comportements violents ou adultérins. La prostitution se développe aussi fortement dans les villes.
Des trafics s’organisent autour de la recherche d’enfants (garçons surtout) et de femmes. La police organise des véritables opérations de communication lors de démantèlements de trafics d’enfants [5]. 7000 réseaux auraient été découverts depuis 2009. Des trafics se montent non seulement par des gangs, mais aussi au nom de l’enfant unique, par l’enlèvement d’enfants par le planning familial officiel. Cette médiatisation des opérations de police ne doit pas être interprétée comme une remise en cause de la politique démographique, ni même sa désapprobation. Elle sert avant tout, comme sur d’autres sujets de délinquance, à renforcer le pouvoir central par une communication maîtrisée.
Les femmes sont les autres victimes de trafics. Faut-il envisager un « nouvel enlèvement des Sabines » ? [6] La recherche d’une épouse se fait quelquefois avec de l’argent à l’étranger, en particulier au Vietnam pour les deux tiers, en Birmanie et en Corée du Nord [7].
A la marge des trafics humains, le mariage, but toujours important pour les jeunes, devient source de détournements. Le critère de choix semble devenir très matérialiste, et semble être notamment pour les femmes, une bonne occasion d’élévation sociale. Tout se monnaye…
Les défis économiques à relever en termes d’urbanisation, d’emploi. L’émigration rurale a des effets difficilement gérables. En parallèle, le déficit de femmes devient alors le plus criant dans les régions rurales du centre du pays. Les migrations de travailleurs temporaires, les migongs, concernent environ 100 millions d’hommes. Souvent en situation irrégulière car ne disposant pas de laissez-passer (un hukou), ils rapportent un peu d’argent à leur famille. L’ampleur du phénomène est à noter dans un pays pourtant très contrôlé par les forces de sécurité. Les déséquilibres démographiques et économiques donnent l’impression de se renforcer mutuellement, à l’image de deux vagues qui se percutent.
Le vieillissement rapide de la population. De façon mécanique et unique au monde, la politique de l‘enfant unique entraine un vieillissement rapide de la population, en diminuant le nombre des jeunes par classe d’âge. La part des personnes de 65 ans ou plus pourrait doubler d’ici à 2030 [8]. Selon la projection moyenne, en 2050, il pourrait y avoir 440 millions de seniors en Chine, presque l’équivalent de la population européenne d’aujourd’hui (502 millions d’habitants) ! [9] La prise en charge des personnes âgées sera un problème très lourd à gérer. La famille constitue le seul système de « protection sociale » pour la majeure partie de la population pauvre. Or, dès les années 2020, les parents n’auront plus guère d’enfants sur qui compter pour subvenir à leurs besoins et nombre d’enfants devront gérer, par couple, huit personnes âgées…. Par ailleurs, le gouvernement chinois n’a pas anticipé ce vieillissement par une politique sociale d’accueil des anciens. Ils risquent donc de retourner contre les autorités, réclamant un juste retour de ce qu’ils ont fait pour développer le pays. Même les anciens ouvriers d’usines d’Etat sont souvent sans ressources, à cause de fermetures ou de restructurations, ne prenant pas en compte le sort des anciens salariés.
Au milieu des années 2000, seul un retraité sur quatre vivait de sa pension. Un autre quart continuait à vivre d’un revenu d’activité tandis que la moitié restante, elle, subsistait principalement grâce à un membre de la famille — souvent un enfant.
Une pression énorme sur l’enfant unique : le modèle familial demeure, et par certains côtés encouragé par les autorités. Une loi de 1996 oblige les enfants à subvenir aux besoins des parents. Mais le mode de vie, avec notamment des logements urbains de plus en plus chers, ne favorise pas cette entraide familiale. Les jeunes, pour trouver du travail, s’éloignent de leur région d’origine. Des tensions se font donc vives pour les jeunes, tiraillés entre leur vie professionnelle et leur famille qu’ils soutiennent souvent à bout de bras.
D’autres effets indirects ont probablement leur source dans le développement économique débridé et les déséquilibres familiaux :
. Taux d’épargne très élevé (d’environ 40% du PIB) pour se rassurer sur son futur, soit pour pouvoir acheter un logement dont les prix montent en flèche, soit pour capitaliser en vue d’une retraite que l’on sait impossible à financer par un système central ou public [10]. Des études de l’économiste sino-américain Shang-Jin Wei ont montré que les familles avec des garçons économisaient plus que celles avec des filles. Cette tendance est accentuée dans les régions où le ratio des sexes (le rapport de masculinité) est le plus fort, car les possibilités de trouver facilement une épouse pour les fils semblent moindres. [11] Pour la première fois, un lien est démontré entre déséquilibre démographique et épargne. D’autres études pourraient probablement montrer un lien entre développement économique, pollution des villes, mode vie, et fécondité.
. Le faible taux de natalité est aggravé par la très faible fécondité des couples urbains. L’enfant arrive de plus en plus tard. Cela tend à réduire naturellement sa place dans la vie des couples. La priorité des jeunes est plus d’ordre matériel (le logement) que d’avoir une descendance. Se posent alors des questions profondes sur les raisons de fonder une famille, la vision de la société chinoise à venir, etc….
. La population en âge de travailler va diminuer dans les toutes prochaines années. Les progrès enregistrés jusqu’à maintenant dans les domaines de la formation et des niveaux de qualifications se ralentiront, ce qui risquera d’entraîner une chute de la productivité [12].
. Le déséquilibre démographique pourrait aussi entraîner des tensions sociales car, contrairement au Japon, la société chinoise n’est pas homogène. La majorité écrasante des Hans reste un élément essentiel de cohésion nationale. Cependant, l’échec relatif de leur implantation dans le grand Ouest, allié à une démographie plus importante des minorités peut être source de revendications.
La pression démographique en général et le développement économique vont accentuer les déséquilibres. Les productions agricole et industrielle devront augmenter pour suivre le développement du niveau de vie de la population. La Chine a déjà commencé par exemple à acheter des centaines de milliers d’hectares de terre, en particulier en Afrique. Ce qu’elle fait aujourd’hui pacifiquement, continuera-t-elle à le faire de la même façon, alors que les tensions sociales internes vont grandir, et que certains Etats étrangers sont réticents aux achats de terre ? [13]
Les défis démographiques semblent s’amonceler et risquent de se compléter entre eux pour déstabiliser la société chinoise. Des évolutions sont-elles possibles rapidement ?
Une crispation à court terme
La loi de l’enfant unique pourrait être à relativiser en partie, car elle n’est pas appliquée de façon uniforme :
. Elle n’est pas imposée aux ethnies minoritaires.
. Elle est plus souple dans les campagnes, par l’imprégnation encore forte du modèle familial, et la moindre pression de l’administration.
Mais cela ne change pas le fond du processus démographique. A priori et sans étude précise, il ne semble pas que cela bouleverse la pyramide démographique au détriment des Hans, toujours plus de 90% de la population. Les éventuelles tensions évoquées ci-avant ne seront probablement pas tolérées par le pouvoir central.
Des signes locaux de prise de conscience : Shanghai a essayé d’encourager la naissance d’un deuxième enfant devant la pénurie prévisible de main d’œuvre [14]. Mais la fécondité y reste dramatiquement faible d’environ 0,7 enfant par femme. Ce sont donc des changements plus profonds de société qui doivent être envisagés.
Il reste aussi et toujours une crispation au niveau central : la politique de l’enfant unique a été confirmée par le pouvoir en 2002 dans la loi sur la population et la limitation des naissances [15]. De même, le 31 octobre 2011, Pékin réaffirmait la continuité de la politique de l’enfant unique. Ce fut sans doute l’occasion de réaffirmer à travers ce sujet la centralisation du pouvoir vis-à-vis de l’intérieur, de Shanghai, comme vers l’étranger, source d’unité et principe politique non négociable. La date de l’annonce n’était en effet pas due au hasard, alors que Shanghai tentait d’assouplir localement la politique de l’enfant unique, et que l’ONU annonçait que la population mondiale atteignait 7 milliards d’habitants [16].
Il existe donc une contradiction apparente entre une politique toujours très stricte dans son application, et une situation démographique connue au plus au haut niveau. Le Quotidien du peuple en ligne cite des chiffres concordant avec les spécialistes de la démographie [17]. Pékin serait-il attentiste face à la situation ? Il est possible que le pouvoir cherche des solutions en phase avec la tradition de centralisme sans renier pour autant le passé. Mais les quelques actions politiques ne semblent pas à la hauteur du défi pour renverser la tendance. Ainsi la loi de 1992 interdisant la noyade et l’abandon des fillettes n’a pas eu d’effet sur la surmortalité des filles.
Une politique structurelle et culturelle de grande ampleur doit donc voir le jour.
Des pistes d’exploration à moyen terme
Pour garder la paix sociale et l’unité du pays, la Chine doit prendre la mesure du défi et mettre en œuvre une série d’évolutions applicables sur un temps long.
. Une exportation de main-d’œuvre masculine ? Si le terme est sans doute excessif, ce n’est pas pour autant une idée inconcevable. Les hommes chinois pourraient être incités à s’implanter en travaillant à l’étranger. Il s’agit d’utiliser le nombre des expatriés comme des relais locaux de la puissance chinoise. Cela fait d’une pierre deux coups : en baissant la pression des hommes dans le pays, le pouvoir renforce sa puissance sur le monde via sa stratégie d’influence par les méthodes souples [18]. Des primes existent pour certains travailleurs se mariant avec des africaines, ainsi qu’à la naissance d’enfants (au pluriel !). Reste à déterminer si ces incitations à l’implantation est une politique à court terme pour assurer par exemple la stabilité locale pour un contrat ou s’il s’agit d’une politique d’expatriation définitive voire de « peuplement ciblé » [19].
. En symétrie, une politique d’immigration féminine semble encore moins réaliste, les tensions avec les pays d’origine allant en s’accentuant. Les trafics frontaliers semblent corroborer cette hypothèse. Le cas de Hong Kong reste quant à lui particulier. La ville accueille beaucoup de chinoises souhaitant accoucher sans autorisation. La tolérance actuelle continuera-t-elle ?
. Un rééquilibre du développement vers l’intérieur et vers des domaines pas seulement tournés vers l’exportation. Le modèle économique repose sur les exportations et non sur les sociétés tournées vers le service. Plus âgée, la population va avoir des besoins de plus en plus grands, et les revendications risquent de s’accentuer. Le gouvernement devra détourner cette menace en opportunité de croissance. L’exemple du Japon, économie de plus en plus tournée vers le service, en même temps que pays à la population la plus âgée, peut servir d’exemple. Les séniors vont avoir de plus en plus besoin de soins et de services. Le pays manque de 10 millions de personnels spécialisés, dont des infirmières, pour assurer les soins aux personnes n’ayant plus leur autonomie. Mais elle ne dispose aujourd’hui que de 220 000 employés dans ce secteur, dont 90% sont sous-qualifiés [20]. Cette pression des seniors pourrait être très forte sur le pouvoir, car les retraités seront bientôt ceux qui auront été les artisans de l’essor économique, et qui en demanderont peut être un certain retour. Réorienter la production industrielle vers la production de services sociaux pourrait se faire par les importants moyens financiers dont dispose le pays, et procurerait en outre un relais de croissance interne si la demande occidentale de produits de consommation n’augmente guère.
. Souhaitons cependant que la Chine n’utilise pas son surplus de main d’œuvre masculine dans sa puissance militaire. Il est néanmoins important de noter la coïncidence existante entre les deux données. Les hommes pourraient fournir les rangs de l’armée populaire pour maintenir l’ordre intérieur ou affirmer la puissance à l’étranger, à commencer par les zones les plus proches (Taiwan, mer de Chine du Sud incluant les îles Spratley et Paracel,…) Les risques graves, y compris la menace de guerre pour des raisons fondamentalement démographiques, ne sont pas à écarter a priori. Cependant, l’histoire chinoise montre que la guerre n’intervient qu’en ultime recourt et pour défendre les intérêts et abords immédiats du pays. Une sinisation des zones d’intérêt vital dans le monde est plus probable.
Sur le court terme, rien ne semble donc pouvoir inverser la tendance au vieillissement de la population et la démographie apparaît comme « le talon d’Achille de la Chine » [21]. Aux vues des conséquences, on ne peut imaginer que le pouvoir ne réagisse pas. Saura-t-il, voudra-t-il retrouver un modèle de développement plus conforme aux attentes de la société chinoise ? La lenteur apparente du pouvoir sur le sujet démographique est sans doute révélatrice de la difficulté d’en appréhender l’ampleur et peut-être d’un changement d’état d’esprit difficile à opérer.
Copyright Février 2012-Brintet/Diploweb.com
Plus :
Voir l’article du Recteur Gérard-François Dumont, "Chine : vers un nouvel enlèvement des Sabines ?", publié sur le Diploweb.com le 16 juin 2008.
Voir une carte de Roberto Gimeno, "Chine - Niveau de vie et ouverture économique", publiée sur le Diploweb.com.
[1] Par exemple avec la présentation du futur avion de combat furtif, sans doute plus proche du JSF américain que de la génération du Rafale.
[2] Les années 1960 ont été marquées par une malnutrition, des famines, et une infertilité due aux conditions de vie du moment.
[3] Gérard-François Dumont, « Les six enjeux de la démographie chinoise », Géostratégiques, n° 33, 4°trimestre 2011.
[4] « Combien de personnes vivent en Chine ? », Le Monde, 5 novembre 2011.
[5] Arnaud de La Grange, « Chine : la police démantèle un gigantesque trafic d’enfants », Le Figaro, 7 décembre 2011
[6] Gérard-François Dumont, « Chine : vers un nouvel enlèvement des Sabines ? », Géostratégiques, n° 17, 2007 ; repris sous le titre « Le déficit des filles en Chine : vers un nouvel enlèvement des Sabines ? », Monde chinois, n° 15, automne 2008.
[7] La Croix, cité par avortementivg.com, 5 mars 2010.
[8] Jacques Dupâquier, Bulletin du CNRS, 2006.
[9] Isabelle Attané, « Quand la Chine grisonnera », Le Monde Diplomatique, juin 2011.
[10] 82.8% se disent plutôt enclins à épargner, contre 17.2% à consommer. Source : sondage Banque Centrale, cité par Lettre de Chine, octobre 2011
[11] Any Bourrier. « En Chine, l’épargne et les filles », Le Monde Diplomatique, 24 juin 2011.
[12] Michel Andrieu, L’Observateur de l’OCDE, n° 217-218, été 1999.
[13] Voir par exemple le refus du nouveau président malgache de valider la promesse de vente de terres faite par son prédécesseur.
[14] Xie Lingli, responsable de la planification familiale de Shanghai, « Nous devons trouver des moyens pour résoudre ce problème. Nous incitons donc les couples à avoir deux enfants », China Daily.
[15] Chine-informations.com
[16] "La surpopulation restera un des principaux challenges au développement économique et social", selon Li Bin, directeur de la Commission nationale de la population et du planning familial, lors d’une interview accordée à l’Agence de presse Chine Nouvelle. Repris par le site radio86.com
[17] Le Quotidien du Peuple, en Ligne, 22 juillet 2009.
[18] Autrement appelé « soft power », selon le concept théorisé par Joseph Nye.
[19] Dans une optique similaire, un accord avec le Nigéria a été conclu pour encourager les mariages mixtes.
[20] Aujourd’hui la Chine 2010, cité par Geopopulation.com
[21] Gérard-François Dumont, « Le talon d’Achille de la Chine ? », Population & Avenir, n° 690, novembre-décembre 2008.
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